Ah! Scrivo a singhiozzo ormai, ubriaco cronico di contingenza!
Puisqu’il n’y a plus de mouche ni de moustique, désormais abritées sous la peau des troncs, c’est bien Noёl. Où tout est parfait effectivement – me disais-je perplexe – hormis ce vague mais inépuisable désir, de me gratter le dos.
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Puisqu’il n’y a plus de mouche ni de moustique, désormais abritées sous la peau des troncs, c’est bien Noёl. Où tout est parfait effectivement – me disais-je perplexe – hormis ce vague mais inépuisable désir, de me gratter le dos.
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