Aprilettere o no, ciottolo-fermacarte o meno, un crimine si consuma sempre nello studiolo dello scrittore, che sacrifica la vita sull’altare delle possibilità mancate.
Du pareil au même, j’ai l’impression que la “réalité”, dans sa forme plus nïaise qui est la chronique, devienne de plus en plus triviale. Oui, toujours les mêmes faits-divers… Ou alors c’est moi qui est devenu insensible et vieux?
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Du pareil au même, j’ai l’impression que la “réalité”, dans sa forme plus nïaise qui est la chronique, devienne de plus en plus triviale. Oui, toujours les mêmes faits-divers… Ou alors c’est moi qui est devenu insensible et vieux?
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