Certes, je suis plutôt sûr face aux difficultés de la journée, depuis ma terrasse – où j’aimerais me blottir.

Sbiadita poi degradata ad aggettivo dalla rugiada: rosa.

Uhmm… mercoledì 2 giugno 2021, non ero mai stato qui prima d’ora !

C’est en regardant singulièrement les feuilles que tu t’en rends compte, qu’il est des trous dans le mur apparemment compacte des choses, tels les innombrables stomates du paysage qui s’ouvre en face (des pores alors!), pour te faire respirer justement. C’est bien là qu’il faut couler l’encre.

J’appréciai pour un instant toute la ronde cerise, en sirotant mon Valpolicella, qui faillit m’étouffer.

- Giulia, infastidita dagli spifferi durante la corsa in auto : «Puoi chiudere per favore? ché mi sembra di stare nell’abitacolo di un elicottero?» - Io, tanto accaldato quanto rassegnato: «Fatto. Da adesso viaggerai in cammello»

Adagiato nella pienezza d’un giorno di sole senza nuvole, scorgo un quadrifoglio, su cui scriverò.

Non so dire cosa sia reale, tantomeno mi interessa: non deve essere meno triste né meno grottesco il clown, appena sveglio.

Je suis partagé: anéantir ou le refaire, ce monde? Ce qui est en tout cas déchirant.

Alors que le conférencier tout rouge tenait son discours enflammé, la plupart des journalistes se bornaient à bailler, en parcourant un journal ignifuge, qu’au demeurant ils connaissaient par cœur.

Le daufin riait, à belles dents. Fais gaffe!

Il se trouve que ma petite maison – petite mais bien au sec – arrive enfin à se glisser parmi les gouttes de pluie.

Il plut à Jupiter, terrible démiurge capricieux. D’où les larmes que je reçus aussitôt sur mon visage.

ll plut à Jupiter, pour mon désespoir.

La notizia di «Borghetto del Libro: festa dell’editoria di Qualità», la prima manifestazione libraria della ripartenza, la prima in assoluto in Italia a parlare di Qualità, per maggiori info www.borghettodelibro.it, non ha tardato a diffondersi – pensavo soddisfatto accarezzandomi la barba, quando mi ha telefonato preoccupato Cristian, per avere mie notizie, il mio parrucchiere.

A tal punto ero concentrato che ho pensato bene, doveva essere martedì, un martedì di certo, credo, di mettermi un dito in un occhio. Seguendo il consiglio del farmacista di fiducia, prenoterò una visita specialistica. Sì, ma di che tipo?

Je aveugle… le soleil couchant de son doigt.

Morbidi pescegatti dalla pancia gialla si muovono agili con la testa tra le nuvole. Davanti alla finestra del mio studiolo, al primo piano, tra un nido e l’altro.

La vraie métaphore de la vie, c’est bel et bien et déjà une métaphore.

Anche l’espressione di quest’oggi stropicciata, scuserete lo scrittore che s’è ubriacato, e ha dormito vestito.

Ah, certains cauchemars!

Je laisse entrouverts mes volets, pour qu’on m’ôte les plus terribles cauchemars.

A mieux y penser la mémoire n’a à faire qu’avec l’élasticité des mots, qui s’étirent, et se prêtent – une fois lâchée la prise – à être périlleusement jetés ailleurs, hors portée en tout cas de notre enfance.

La mémoire a à faire avec

Il picchio rosso si fa notare, con la matita verde.

ll picchio si fa notare, con la matita.

A chaque fois que tu fais un choix tu rates quelque chose. Et ne pas choisir, c’est pareil, c’est quitter à jamais le champ de la pure potentialité aérienne pour se retrouver au sol, les mains sales. Autant écrire alors, l’index bleu ciel.

Stamattina ho notato che la quercia dalla lunga e folta chioma lucente (offesa dal vento, forse) mi dà le spalle.

La matière, qui constitue la soi-disant réalité, est partout. Le sommeil, dont notre maigre esprit se nourrit, ne sert qu’à la monder un peu.

-Giulia : «La volontà è davvero libera?» -Io : «Direi di sì, anche se… si sa, col tempo arrugginisce »

Come farglielo capire? come vincere la naturale diffidenza degli indigeni? come convincerli che il cacatua non è una pietanza disgustosa, né un insulto, tantomeno un modo – comunque non efficace, per quanto mi è dato sapere, oggi – di augurare la malasorte?

Mi sorprendo ancora a rimirar, fuori dalla finestra, i fiori bianchi della rubiglia?! io che, in primavera, effettivamente mi distraevo, durante le ore di latino.

Stamattina ho cercato faticosamente di sollevare la zolla, facendo leva col badile lucente, sulla tazza, di caffè.

Oui, c’est vrai. Ce n’est pas un travail, le mien. Pourtant les livres sentent le pain quotidien – notais-je, dans le train.

Et me voilà à l’œuvre aujourd’hui, pour prouver enfin que ce n’est pas du travail.

C’est vrai, l’essence est invisible aux yeux, rougis, qui brûlent déjà. Tenir hors de portée des enfants.